Femmes, vous êtes l’essence même de ma vie…
Femmes, vous êtes l'essence même de ma vie,
Pourquoi continuer à vivre si je suis banni
De vos bras et de votre amour ?
Sans vous je ne sais plus qui je suis,
Âme-en-peine remplie de mélancolie,
J'implore, en cette ode simple, votre secours.
Que m'importe de vivre enfermé,
Seul, pleurant, dans cette immensité gelée ?
Poème écrit le 02/12/04 à Dijon
Paul-Etienne