Repos du froid prosateur
Toi
Sans qui rien n'était possible
Par qui tout était visible
Sans qui tout était périssable
Par qui rien n'était imaginable
Toi
Avec qui l'aube promettait
Avec qui la journée sublimait
Avec qui le crépuscule effrayait
Avec qui la nuit s'illuminait,
Enfin
Moi
Je souffrais la distance
J'haïssais l'absence
Moi
Je me droguais de toi
Je me perdais en toi
Je n'existais hors de toi
Puis
Tu as voulu reprendre ta liberté
J'ai alors perdu la mienne
Tu as repris ton envol
Je me suis alors brisée
Tu as fui vers d'autres cieux
J'ai vu l'enfer sous mes yeux
J'ai gardé l'espoir
Tu m'as fait languir
J'ai gardé l'esprit
Emplie par le tien
Mais
Tu les as trouvés, ces autres cieux
Et alors, l'enfer m'a pris
Tu m'as vu, chuter
Et alors, tu as ri
Tu es
partie
Et alors
rien n'est plus.
Sans qui rien n'était possible
Par qui tout était visible
Sans qui tout était périssable
Par qui rien n'était imaginable
Toi
Avec qui l'aube promettait
Avec qui la journée sublimait
Avec qui le crépuscule effrayait
Avec qui la nuit s'illuminait,
Enfin
Moi
Je souffrais la distance
J'haïssais l'absence
Moi
Je me droguais de toi
Je me perdais en toi
Je n'existais hors de toi
Puis
Tu as voulu reprendre ta liberté
J'ai alors perdu la mienne
Tu as repris ton envol
Je me suis alors brisée
Tu as fui vers d'autres cieux
J'ai vu l'enfer sous mes yeux
J'ai gardé l'espoir
Tu m'as fait languir
J'ai gardé l'esprit
Emplie par le tien
Mais
Tu les as trouvés, ces autres cieux
Et alors, l'enfer m'a pris
Tu m'as vu, chuter
Et alors, tu as ri
Tu es
partie
Et alors
rien n'est plus.
Aymellyne,
le 02/12/09
Réponse à "errance d'un poète amoureux"
le 02/12/09
Réponse à "errance d'un poète amoureux"